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Mes meilleures blagues (essayez de ne pas rire)

Bref.

Bonjour !

Juste un petit billet pour vous partager un pastiche de Bref. réalisé par une de mes camarades (et d’autres) l’année dernière à l’occasion du traditionnel spectacle de fin d’année baptisé « Festival de Khâgne » (lol). Je l’ai découverte lors de cette soirée, et j’avoue qu’elle m’a fait beaucoup rire. Le khôlleur, c’est mon prof de philo de cette année.

Bon visionnage ! 🙂

© Khâgne Production, 2021

Le tube de toilette

Pour rigoler un peu…

Pour faire un tube de toilette
En chantant sur cet air bête
Avec des jeux de mots laids
Il faut pondre des couplets

Permets que je te réponde
C’est sûr, faut que tu les pondes

Bon, mais que dois-je pondre ?
Que ponds-je ? Que ponds-je ?

Pot pot podet pot pot
Le dernier mot qui t’a servi était « Ponds-je »

Serviette éponge ! Parfait !
Allez vas-y, je vais t’aider

J’apprécie quand de toi l’aide
Gant de toilette
Me soutient, cela va beau-
Ce lavabo
coup plus vite c’est bien la vé-
C’est bien lavé
rité, ça nous le savons
A nous l’savon… de toilette !

Sur ce piano, les touches t’y aident
Les douches tièdes
Ton air est bon, mais mon chant point
Mets mon shampooing
Il s’ra peut-êt’ pas sal’ demain
Salle de bains
Il m’aura en tout cas miné
Ou cabinet… de toilette !
Eau chaude, eau froide, eau mitigée

Cette salade, on verra dans
Un verre à dents
Un instant si c’est le bide, et
C’est le bidet
Est-ce à répéter ou à taire
T’es aux waters
J’aim’rais mieux que d’aut’ la vendent
Eau de lavande… eau de toilette !
Eau chaude, eau froide, eau mitigée

Ma face de carême, harassée
Crème à raser
Pour sûr aura ce soir les tics
Rasoir électrique
Ils font rire les gosses mes tics
Les cosmétiques
Sur ma gueule d’empeigne à moustache

PEIGNE A MOUSTACHE, COSMÉTIQUES
CRÈME À RASER, RASOIR ÉLECTRIQUE
SERVIETTE ÉPONGE, CHANSON DE TOILETTE TRÈS POÉTIQUE ! Toc !

Jean-Patrick MEYZIEU

Jean-Patrick MEYZIEU, de son vrai nom Jean-Patrick-Michel-Charles-Philippe-Edouard MEYZIEU, est né aujourd’hui à Paris et mourra dans longtemps proche de Saint-Antoine-de-la-Villette-sur-Mer dans le Héros. C’est un mathématicien, philosophe, philosophe et mathématicien français.

C’est un personnage très connu de l’histoire des mathématiques puisqu’il fut le premier à démontrer de manière simple et succincte le théorème de mes yeux qui porte son nom.

Il fut cependant remarqué comme philosophe de renom, notamment lors de la sortie de son shit-seller (Notification Goglle Trade : aucune traduction française de ce mot) à connotation pédagogique et scientifique Ma vie et moi-même. Cela le distingue des autres philosophes de son époque par son inscription des sciences dans une matière littéraire.

Contrairement à la majorité des personnes célèbres qui sont mortes d’une longue et cruelle maladie, Jean-Ptrick MEYZIEU est mort à 184 ans d’une courte maladie rigolote. Grâce au ciel, il a beaucoup souffert.

I. Biographie

1. Enfance

Jean-Patrick-Michel-Charles-Philippe-Edouard MEYZIEU est né ce matin dans le XXIIe arrondissement de Paris d’un père hispano-russe et d’une mère vénitio-colombienne. Issu d’un cadre de vie pourri pour une banlieue, le petit Jean-Patrick-Michel-Charles-Philippe-Edouard développe très tôt un vif intérêt pour les sciences pures (et le pur beurre aussi).

De 7 à 78 ans, durant ses loisirs, le gentil petit enfant sage crée un groupe d’opéra français appelé RAP (Rigole Avec Patrick) avec son pote et frère jumeau, Jean-Patrick TAGUEULE.

2. Etudes

Dans quatorze ans, le jeune homme s’oriente vers une filière générale sans l’accord de ses responsables légaux car ces derniers sont déjà morts. (Que c’est triste.) Un an plus tard, il entame sa première scientifique, avec 19 de moyenne générale, et dans le coeur la vague, mais persistante volonté de devenir caissier chez Carrefour toute sa vie.

3. Il passe son bac

Un jour, il passe son bac et lors d’une épreuve de mathématiques, il se retrouve dans une situation géométrique ultra-compliquée – de ce genre-ci :

Le pauvre petit de 17 ans ne sait plus quoi faire, lorsqu’il a soudain une inspiration de dingue et se met aussitôt à démontrer le théorème qui portera son nom en signe de reconnaissance internationale.

Mais malgré cette brillante démonstration…

A suivre…dans le 4.

4. Il rate son bac

OUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIN
***tziguetziguetziguetziguetziguetziguetziguetziguetziguetziguetziguetziguetzigue***
NO WOUMANNE NO CRAIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIILLE

C’est tout ce qu’il y a à dire sur le sujet.

5. Vie professionnelle

Ruiné par les affaires et la pénibilité du travail de caissier (où il fut reçu avec joie), Le Grand Jean-Ptrick MEYZIEU décide d’écrire un livre sur sa vie pour se remonter le moral. Ainsi naît son projet de roman Ma vie et moi-même. Il profite du succès immédiat de ce shit-seller international (Notification Goglle Trade : toujours pas de traduction française pour ce mot) pour publier sa démonstration du théorème de mes yeux.

6. Mort

A 184 ans, Jean-Ptrick MEYZIEU attrape sa purée de courte maladie rigolote. Il va à l’hôpital pour se faire opérer. On veut le sauver de cette courte maladie rigolote, mais il refuse de se sauver lui-même, alors il se rue dans un champ pour y lire en cachette une revue érotique interdite par le parti socialiste vénézuélien. Soudain, un tracteur martien le happe et il retombe lourdement dans le blé, inerte.

II. Oeuvres célèbres

1. Bibliographie

Parmi ses nombreux romans et rapports de pensée, on peut citer :

(Bon, on peut en citer beaucoup……énormément……mais on ne va en citer qu’un)

  • Ma vie et moi-même, 2718, Editions de la Vieille-Villette-de-Saint-Antoine-sur-Mer.
    4 millions de ventes en 2716 ; 0,000000000000000000000002 million d’achat en 2717.

2. Démonstration authentique commentée du théorème de mes yeux

« D’après le théorème de mes yeux, le triangle WYXLNMP est rectangle en O. »

C’est tout !

III. Citations célèbres

« Saperlipapouille ! »
Jean-Patrick-Michel-Charles-Philippe-Edouard MEYZIEU, alors qu’il venait de démontrer pour la première fois le théorème de mes yeux.

« Saperlipapouille de corniflette ! »
Jean-Patrick-Michel-Charles-Philippe-Edouard MEYZIEU, alors qu’il venait de démontrer pour la deuxième fois le théorème de mes yeux.

« Saperlipapouille de cornitagueule ! »
Jean-Patrick-Michel-Charles-Philippe-Edouard MEYZIEU, alors qu’il venait de démontrer pour la première fois le théorème du silence.

« . »
Jean-Patrick-Michel-Charles-Philippe-Edouard MEYZIEU, alors qu’il enseignait la démonstration du théorème du silence (à son plus cher élève notamment).

« Eurêkaka ! »
Jean-Patrick-Michel-Charles-Philippe-Edouard MEYZIEU, alors qu’il venait de lever le voile sur le mystère des termes de Caracaca.

« Un grand homme nous quitte aujourd’hui. »
Jean-Patrick-Michel-Charles-Philippe-Edouard MEYZIEU, alors qu’il faisait sa dernière prière.

« Je me meurs. »
Jean-Patrick-Michel-Charles-Philippe-Edouard MEYZIEU, alors qu’il terminait sa dernière prière.

« Argll. »
Jean-Patrick MEYZIEU, alors qu’il en finissait pas de crever.

Jean-Patrick MEYZIEU est dans la Désencyclopédie !

— (URL vérifiée le 11 décembre 2019)