Archives de catégorie : Productions

Tout ce que je fais moi-même, « pour le fun ».

Pourquoi je décide d’écrire pour un blog

Bonsoir à tous.

Je vais aujourd’hui répondre à une question que je me posais souvent depuis la création de ce blog : Pourquoi je décide d’écrire pour un blog, et pas de faire des vidéos (sur Youtube par exemple) comme tout le monde ? Eh bien, c’est très simple :

1. Parce qu’on a un style en écriture autant qu’en vidéo
Néanmoins, ces deux styles ne sont pas fusionnables : par exemple, comment représenter un blanc dans une vidéo, sinon « . » ? (Dans ce cas-là, le point n’apporte pas une image très cultivée de l’auteur, c’est moi qui vous le dis.)

2. Parce que faire des vidéos, ça prend du temps et je n’ai pas que ça à faire
En tout cas, ça prend moins de temps que d’écrire un texte (à mon avis).

Pour faire une vidéo, il faut imaginer le scénario, écrire le scénario, recruter éventuellement des acteurs, apprendre le scénario, rassembler décors, musiques et accessoires nécessaires, tourner les scènes une par une, monter la vidéo à partir des scènes réalisées et publier la vidéo sur ce blog !

Alors que pour écrire : il faut :
1) Aller chercher un crayon
2) Aller chercher du papier
3) Écrire ce que l’on a en tête
4) Organiser ses idées
5) Recopier son billet sur ce blog
6) Aller se faire cuire un œuf.
NB. – Les étapes 4 et 5 sont fusionnables, et l’étape 6 est facultative.

Ma devise (pour l’instant) : Les études d’abord !

3. Parce que je ne veux pas céder mes données personnelles à une entreprise qui stocke les requêtes des utilisateurs ainsi que leur adresse
Toutes ces informations rassemblées dans des bases de données sont UTILISÉES et VENDUES à des entreprises de vente en ligne notamment. Alors merci pour votre proposition chère entreprise, mais je ne veux pas retrouver mes données personnelles dans les serveurs Internet d’une autre société dont je ne soupçonne même pas l’existence !!! |-(

4. Parce qu’écrire me donne de l’imagination et de la créativité
Je suis actuellement sur un projet de roman, c’est pour vous dire que je me mets la barre très haut…!

5. Parce que pour écrire, il faut lire beaucoup
J’écris donc je lis donc j’apprends donc je me cultive donc je suis plus intelligent ! On a vu plus difficile comme raisonnement, non ?

6. Parce qu’écrire me donne une autre vision du monde, et me permet d’exprimer mes sentiments très dignement
Sans commentaire. XD

7. Parce que l’écriture, c’est libérateur et ça ouvre des portes
Enfin vous l’avez sans doute compris, je suis un amoureux de la lecture, et de la culture en général d’ailleurs.

8. Parce que vous ne me voyez pas
Dans ce cas, vous pouvez imaginer mon physique et ma voix à partir de mes écrits, ce qui est (selon moi) parfaitement subtil. (Sauf si vous avez déjà visionné un des films que je publie sur ce blog, et dans lesquels je me montre ouvertement…)

Voilà, je crois avoir fait le tour de la question. On se retrouve très bientôt pour peut-être une surprise de Noël. (Youpi !)

Jean-Patrick MEYZIEU

Jean-Patrick MEYZIEU, de son vrai nom Jean-Patrick-Michel-Charles-Philippe-Edouard MEYZIEU, est né aujourd’hui à Paris et mourra dans longtemps proche de Saint-Antoine-de-la-Villette-sur-Mer dans le Héros. C’est un mathématicien, philosophe, philosophe et mathématicien français.

C’est un personnage très connu de l’histoire des mathématiques puisqu’il fut le premier à démontrer de manière simple et succincte le théorème de mes yeux qui porte son nom.

Il fut cependant remarqué comme philosophe de renom, notamment lors de la sortie de son shit-seller (Notification Goglle Trade : aucune traduction française de ce mot) à connotation pédagogique et scientifique Ma vie et moi-même. Cela le distingue des autres philosophes de son époque par son inscription des sciences dans une matière littéraire.

Contrairement à la majorité des personnes célèbres qui sont mortes d’une longue et cruelle maladie, Jean-Ptrick MEYZIEU est mort à 184 ans d’une courte maladie rigolote. Grâce au ciel, il a beaucoup souffert.

I. Biographie

1. Enfance

Jean-Patrick-Michel-Charles-Philippe-Edouard MEYZIEU est né ce matin dans le XXIIe arrondissement de Paris d’un père hispano-russe et d’une mère vénitio-colombienne. Issu d’un cadre de vie pourri pour une banlieue, le petit Jean-Patrick-Michel-Charles-Philippe-Edouard développe très tôt un vif intérêt pour les sciences pures (et le pur beurre aussi).

De 7 à 78 ans, durant ses loisirs, le gentil petit enfant sage crée un groupe d’opéra français appelé RAP (Rigole Avec Patrick) avec son pote et frère jumeau, Jean-Patrick TAGUEULE.

2. Etudes

Dans quatorze ans, le jeune homme s’oriente vers une filière générale sans l’accord de ses responsables légaux car ces derniers sont déjà morts. (Que c’est triste.) Un an plus tard, il entame sa première scientifique, avec 19 de moyenne générale, et dans le coeur la vague, mais persistante volonté de devenir caissier chez Carrefour toute sa vie.

3. Il passe son bac

Un jour, il passe son bac et lors d’une épreuve de mathématiques, il se retrouve dans une situation géométrique ultra-compliquée – de ce genre-ci :

Le pauvre petit de 17 ans ne sait plus quoi faire, lorsqu’il a soudain une inspiration de dingue et se met aussitôt à démontrer le théorème qui portera son nom en signe de reconnaissance internationale.

Mais malgré cette brillante démonstration…

A suivre…dans le 4.

4. Il rate son bac

OUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIN
***tziguetziguetziguetziguetziguetziguetziguetziguetziguetziguetziguetziguetzigue***
NO WOUMANNE NO CRAIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIILLE

C’est tout ce qu’il y a à dire sur le sujet.

5. Vie professionnelle

Ruiné par les affaires et la pénibilité du travail de caissier (où il fut reçu avec joie), Le Grand Jean-Ptrick MEYZIEU décide d’écrire un livre sur sa vie pour se remonter le moral. Ainsi naît son projet de roman Ma vie et moi-même. Il profite du succès immédiat de ce shit-seller international (Notification Goglle Trade : toujours pas de traduction française pour ce mot) pour publier sa démonstration du théorème de mes yeux.

6. Mort

A 184 ans, Jean-Ptrick MEYZIEU attrape sa purée de courte maladie rigolote. Il va à l’hôpital pour se faire opérer. On veut le sauver de cette courte maladie rigolote, mais il refuse de se sauver lui-même, alors il se rue dans un champ pour y lire en cachette une revue érotique interdite par le parti socialiste vénézuélien. Soudain, un tracteur martien le happe et il retombe lourdement dans le blé, inerte.

II. Oeuvres célèbres

1. Bibliographie

Parmi ses nombreux romans et rapports de pensée, on peut citer :

(Bon, on peut en citer beaucoup……énormément……mais on ne va en citer qu’un)

  • Ma vie et moi-même, 2718, Editions de la Vieille-Villette-de-Saint-Antoine-sur-Mer.
    4 millions de ventes en 2716 ; 0,000000000000000000000002 million d’achat en 2717.

2. Démonstration authentique commentée du théorème de mes yeux

« D’après le théorème de mes yeux, le triangle WYXLNMP est rectangle en O. »

C’est tout !

III. Citations célèbres

« Saperlipapouille ! »
Jean-Patrick-Michel-Charles-Philippe-Edouard MEYZIEU, alors qu’il venait de démontrer pour la première fois le théorème de mes yeux.

« Saperlipapouille de corniflette ! »
Jean-Patrick-Michel-Charles-Philippe-Edouard MEYZIEU, alors qu’il venait de démontrer pour la deuxième fois le théorème de mes yeux.

« Saperlipapouille de cornitagueule ! »
Jean-Patrick-Michel-Charles-Philippe-Edouard MEYZIEU, alors qu’il venait de démontrer pour la première fois le théorème du silence.

« . »
Jean-Patrick-Michel-Charles-Philippe-Edouard MEYZIEU, alors qu’il enseignait la démonstration du théorème du silence (à son plus cher élève notamment).

« Eurêkaka ! »
Jean-Patrick-Michel-Charles-Philippe-Edouard MEYZIEU, alors qu’il venait de lever le voile sur le mystère des termes de Caracaca.

« Un grand homme nous quitte aujourd’hui. »
Jean-Patrick-Michel-Charles-Philippe-Edouard MEYZIEU, alors qu’il faisait sa dernière prière.

« Je me meurs. »
Jean-Patrick-Michel-Charles-Philippe-Edouard MEYZIEU, alors qu’il terminait sa dernière prière.

« Argll. »
Jean-Patrick MEYZIEU, alors qu’il en finissait pas de crever.

Jean-Patrick MEYZIEU est dans la Désencyclopédie !

— (URL vérifiée le 11 décembre 2019)

A la rencontre de mon alter ego, mon frère

Cher lecteur, bonjour.

C’est sur cette longue allée qui passait à travers champs et que je connaissais bien, que je le retrouvai. Il était presque exactement comme je l’imaginais. Grand, frêle, il était vêtu d’un simple costume de ville. Il marchait la main droite posée sur une besace vide, l’autre bras ballant, attendant quelque signal qui pourrait le faire entrer en action. Il marchait d’un pas assuré, rapide sans paraître pressé pour autant. De temps à autre il levait la tête, ne quittant décidément pas son air pensif, songeant sans doute à je ne sais quel projet perdu. Cet instant pourrait être totalement banal, mais bien qu’il fût quotidien, le jeune homme semblait vouloir me raconter une histoire, une sorte de beau roman d’aventures du dix-neuvième siècle. Parfois il ralentissait la marche, se retournait, et l’expression légère de nostalgie figée sur son visage semblait laisser derrière lui la fin d’une autre histoire, une histoire mystérieuse, et le début d’une autre encore.

Il s’arrêta, parut hésiter, fit trois pas en arrière et s’engagea dans un sentier longeant le lac du grand domaine que nous avions rejoint ensemble, sans une seule parole. Le grand garçon avisa alors un banc au bord du point d’eau. C’est là qu’il m’adressa la parole pour la première fois, avec un ton détaché.
« Ça te dit de causer ici avec moi ? »
Je faillis lui répondre : « Arrête… C’est plein de feuilles mortes et de moustiques, ici. »
Mais il y avait je ne sais quoi dans son regard qui témoignait d’une profonde amitié et d’une grande compréhension à mon égard. Je ne fus pas ému ; mais cet étrange coup d’œil en disait tant que je fus presque aussitôt convaincu de m’asseoir ici avec lui.

Nous restâmes encore quelques secondes ainsi, assis côte à côte, sentant la douce brise des longues soirées d’août, annonçant, presque suggérant l’approche de la fin d’une grande et longue partie de plaisir, et écoutant attentivement le bruit apaisant du petit lac. Puis, toujours dans ce grand silence qui devenait de plus en plus mystérieux, il sortit de sa sacoche – qui m’avait paru vide un peu plus tôt – un carnet et un crayon, et penché sur sa feuille il se mit à écrire.

C’est alors, et seulement à ce moment-là que je le reconnus, le gamin de mon adolescence, le songe de ma personne et la personne de mon songe, celui qui fut, entre beaucoup de personnages de livres et quelques camarades de classe, mon seul et véritable confident et ami. Et mes retrouvailles avec cet être fantastique, extraordinaire, merveilleux, se présentaient à moi comme une invitation à tourner la page, à me lancer dans une nouvelle vie dont je profiterai pleinement chaque instant…

Mon brevet en troisième

Cher et fidèle lecteur, salut.

Je ne sais pas si tu te souviens de mon article relatant Mon année de cinquième. Après la lecture de ce texte à mon ancienne classe – lecture qui me rapporta d’ailleurs d’élogieux commentaires dans le collège, à ma grande surprise – certains de mes camarades m’avaient proposé de faire la même chose pour ma quatrième. Cependant, j’étais (et suis toujours) dans une très bonne classe à 23 élèves (record historique de nombre d’élèves du collège) où il faisait bon vivre, je n’avais donc pas grand-chose à écrire…si ce n’est sur mon voyage en Allemagne (voir Un mois et demi de voyage). Or cette année, j’ai passé mon Diplôme National du Brevet. Je vais donc vous raconter comment je l’ai vécu. Continuer la lecture de Mon brevet en troisième

Demain les chats

Racontez une rencontre entre un ordinateur et un chat après la disparition de l’homme sur Terre. Veillez à :
– évoquer le temps où l’homme dominait la planète ;
– exprimer les sentiments des deux personnages ;
– respecter les accords des verbes avec leur sujet.
Votre texte fera une soixantaine de lignes minimum. (= une trentaine de lignes dactylographiées). Continuer la lecture de Demain les chats

Mon amour

Cher lecteur, cette fois, je te fais une faveur ;
Je te livre un secret qui m’emplit de bonheur.
Je suis amoureux de quelqu’un de très spécial
Qui chaque instant m’emmène en conquête spatiale.
Je sais, elle est plus âgée que moi, et pourtant
Je l’aime de tout mon cœur, du haut de mes treize ans.
Ah ! Quelles nuits sans sommeil nous avons passées
À nous échanger nos plus intimes secrets !
Elle, aussi amoureuse, ne me quitte jamais
Que je sois triste ou heureux, pour me réconforter,
M’offre des mots délicieux dont elle a le secret –
Que je ne saurai jamais. Qu’elle est énigmatique,
Lorsqu’elle offre son corps à mon esprit lyrique !
Je bois ses paroles comme je mangerais des fraises,
Mon amour, ma langue française.

Jeudi 1er juin 2017